SAIC

Manage the Organizational Change to Build the Smart Car in China A Study of SAIC-Alibaba Joint Venture

China's "Auto Belt:" Implications for Assembler Competitiveness

Le come-back du véhicule électrique en Chine

Elle a tout d'une (Geely) Emgrand

Emilie Binois nous signalait cette semaine dans Autoactu que Geely entend, d’ici à 2020, faire grimper la part des véhicules hybrides et électriques à 90% de ses ventes. 
La déclaration faite au salon de Canton correspondait à la fois au lancement de la "Blue Geely Initiative" qui indique comment Geely va tenter d’atteindre ces ambitieux objectifs et au lancement d’une version électrique de son modèle Emgrand qui, en version thermique, se plaçait en septembre à la 14ème place sur le marché des "sedans" avec 16 155 immatriculations et est le seul véhicule chinois à figurer dans le top 15 sur ce marché dominé par les marques non chinoises.
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La lente émergence d’une industrie automobile chinoise

Dongfeng Number 1

 

Chaque salon de Shanghai ou de Pékin donne lieu à une débauche de présentations de nouveaux modèles chinois et, les années passant sans qu’aucun ne fasse réellement dates, on finirait volontiers par traiter cela comme l’écume d’un fleuve dont le cours resterait déterminé par les grands constructeurs mondiaux. Ce serait un erreur en 2015 car les choses changent et, entre les "vraies" marques chinoises et celles dont on impose la création aux grands investisseurs occidentaux, l’offre et les compétences chinoises se structurent sur fond de ralentissement de la croissance.  Ainsi, alors que les marques chinoises avaient tendance à progresser moins que le marché ces dernières années, elles se portent très bien en 2015.
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Les constructeurs chinois voient leur avenir ailleurs

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Alors que s’ouvre cette semaine le Salon de Shanghai, la question des capacités de l’industrie chinoise à se doter de challengers sérieux des grands constructeurs mondiaux reste ouverte. Malgré – ou à cause de – une offre pléthorique de marques et de modèles portée par de très – trop – nombreux constructeurs, le marché intérieur reste dominé par les GM, VW, Toyota, Nissan, Hyundai ou Ford alors que ni les constructeurs "privés" (comme Chery, Geely, BYD ou Great Wall) ni les "state owned companies" associées par ailleurs aux grands mondiaux ne sont parvenus pour l’heure à construire des marques chinoises fortes. Pour prendre un exemple, SAIC a vendu 462 508 véhicules en mars 2013 (+ 17 %), dont 131 866 unités dans le cadre de sa coentreprise avec Volkswagen (+ 24 %) et 133 862 unités avec la coentreprise Shanghai General Motors (+18 %). Sa propre marque n’a vendu que 17 612 véhicules le mois dernier (+ 10 %) mais la société conjointe SAIC-GM-Wuling qui porte, conformément aux directives gouvernementale, la marque chinoise de la JV a vendu 156 232 unités (+ 11 %). lire la suite

Le marché automobile chinois pour les grands constructeurs mondiaux : eldorado ou miroir aux alouettes ?

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La chronique hébdomadaire de Bernard Jullien directeur du Gerpisa.

Après une semaine en Chine close par une journée au Salon de Shanghai, on serait volontiers pris de vertige : le rythme de développement effréné est partout perceptible par l’espèce d’énorme chantier permanent qu’est la Chine en 2011 et l’automobile avec ses taux de croissance à deux chiffres ne fait qu’accompagner le mouvement. La jeunesse d’un parc qui continue d’être, en termes de taux d’équipement, très limité nourrit chez les professionnels occidentaux une espèce d’enthousiasme naïf qui naît du contraste que la Chine offre avec ce qu’ils vivent depuis des années : la soif d’automobile paraît inextinguible et les volumes à produire et à vendre sont tels que même celui qui n’espère en capter qu’une fraction mineure y voit une opportunité de changer de dimension et de sortir de la nasse qu’est devenu le business automobile dans les pays développés. La Chine après la crise fait figure d’eldorado. Elle représente le paradis perdu pour l’automobile mondiale et les volumes comme les profits réalisés en 2010 nourrissent la ruée vers la Chine. lire la suite

Bernard Jullien interviewé par les Echos

Date: 
17/11/2010
Emission / Séminaire / Colloque: 

Les Echos de l'Eco

Bernard Jullien, économiste et directeur général du Gerpisa, répond aux questions de Marie-Sophie Carpentier à l'occasion de l'introduction en Bourse de General Motors.

Chine : comment le déplacement du centre de gravité de l’automobile mondiale pourrait devenir une réalité ?

Shangai double spin

La chronique hébdomadaire de Bernard Jullien directeur du Gerpisa.

Le Salon de Pékin s’est ouvert en fin de semaine dernière. Dans un contexte d’expansion phénoménale du marché, un mois après le rachat de Volvo par Geely, l’évènement vient rappeler combien les débats français et européens sur les 5 ou 6 millions de véhicules qu’il conviendrait désormais de produire pour rester compétitif sont relatifs si l’on intègre la Chine. Pour les leaders sur ce marché que sont GM et VW, c’est le cap des 2 millions de voitures qui se profile et vient indiquer que, dans la hiérarchie mondiale, d’ores et déjà, une forte présence en Chine est une condition pour pouvoir rester dans le top 5. Pour l’ensemble des constructeurs présents, l’engouement pour l’automobile dans un pays où le nombre de voitures pour 1000 habitants est de l’ordre de 30 là où les européens flirtent avec les 600 et les américains avec les 800 est une bouffée d’oxygène. Avec une croissance du marché de 45% en 2009 et de 72% sur le premier trimestre, il semble presque difficile de ne pas réussir et chaque constructeur présent peut exhiber une progression enviable. lire la suite

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