Clio

Bolloré's lay-off: the way he was managing Renault has weighed in the decision than his links with Ghosn

Il y a un an, il y a un siècle...

The show goes on and the last episode was the brutal eviction of Thierry Bolloré (Renault's CEO) on Friday.
 
This is willingly commented on as the counterpart to Saikawa's which would have been desired by the Nissans and - as some presume - agreed by Jean-Dominique Senard (Renault's Chairman) that the trio of leadership candidates should be put in the order he wanted to see prevail.
The government and the agency of state shareholdings ("APE3: Agence des Participations de l'Etat) which, after having wished for the Renault-Nissan merger and having favourably considered the Renault-FCA operation, seem to have finally understood since the beginning of June that the relaunch of the Alliance should be the priority given to J.-D. Senard would have validated the option. The undertaking would therefore mainly be a process of "de-ghosnisation" of the top management of the two companies necessary for a new start.
 
If this interpretation contains some truth, it is probably a little short, however.
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Départ de Bolloré : son management de Renault a plus pesé que ses liens avec Ghosn

Il y a un an, il y a un siècle...

Le feuilleton continue donc et le dernier épisode a été l’éviction brutale de Thierry Bolloré vendredi.
 
Celle-ci est volontiers commentée comme le pendant de celle de Saikawa qui aurait été souhaitée par les Nissan et – supputent certains – consentie par Jean-Dominique Senard pour que le tiercé des candidats à la direction soit mis dans l’ordre qu’il souhaitait voir prévaloir.
Le gouvernement et l’agence des participations d’Etat qui, après avoir souhaité la fusion Renault-Nissan et envisagé d’un bon œil l’opération Renault-FCA, semblent avoir depuis début juin compris enfin que la relance de l’Alliance devait être la priorité donnée à J.-D. Senard aurait validé l’option. L’entreprise serait donc principalement une entreprise de "dé-ghosnisation" du top management des deux entreprises nécessaire à un nouveau départ.
 
Si cette interprétation contient une part de vérité, elle est sans doute un peu courte toutefois.
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Clio 4 à Novo Mesto : optimisation de l’utilisation de l’outil industriel ou mise en concurrence des sites

Novo Mesto avait déjà produit près de 1,5 millions de Clio 2

Renault a annoncé cette semaine que, pour faire face à une demande forte de Clio 4 en Europe, il avait été décidé de rajouter un troisième site d’assemblage : en plus de Bursa en Turquie qui est le site principal et avait ravi à Flins au lancement le statut de site pilote, Flins partagerait à partir de février 2017 avec Novo Mesto l’assemblage des véhicules destinés à l’Europe et qui excèdent les capacités du site turc. "L'objectif est bien de saturer nos unités de production actuelles et de fabriquer en Slovénie des volumes complémentaires pour répondre à la demande du marché" a indiqué à ce sujet Jose Vicente de los Mozos, directeur des fabrications. On conçoit effectivement que le site turc dont la capacité totale est de l’ordre de 360 000 véhicules et qui a produit les deux dernières années entre 250 000 et 300 000 Clio 4 (en incluant le modèle Estate) ait besoin d’être épaulé et on peut entendre que Flins, désormais en charge de Micra, en plus de Clio et de Zoé, puisse ne pas suffire. Dès lors que le segment A auquel est dédié le site de Novo Mesto est aujourd’hui assez peu porteur et génère des demandes de Twingo et de Smart For Four qui laissent inemployées d’importantes capacités, la décision prise de faire revenir la Clio en Slovénie semble relever du bon sens.
La question n’est pas forcément aussi simple si l’on intègre deux dimensions complémentaires. 
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