GM

Le duo Delbos-Senard face aux agences de notation

Serving another type of client
As expected, the major rating agencies downgraded Renault's credit rating this week and posted lower price targets. Renault's management obviously prefers to play the truth speech that will mobilize the teams rather than tell the markets and analysts what they would like to hear.
 
On Tuesday, the rating agency Moody's downgraded its long-term credit rating on Renault from Baa3 to Ba1, with a stable outlook. 
 
It sanctions the group's poor performance for 2019 announced the previous week: in the red in 2019, for the first time since 2009, Renault, which saw its sales and profitability fall, did not want to be reassuring for 2020 by envisaging a further drop in its profitability. This is the reason for the downgrading of Moody's rating, which indicates :
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Le duo Delbos-Senard face aux agences de notation

Serving another type of client
Comme on pouvait le prévoir les grandes agences de notation ont dégradé cette semaine la note de la dette Renault et affiché des objectifs de cours en baisse. Les dirigeants de Renault préfèrent d'évidence jouer le discours de vérité qui mobilisera les équipes plutôt que de raconter aux marchés et analystes ce qu'ils aimeraient entendre.

Mardi, l’agence de notation Moody’s a rétrogradé de Baa3 à Ba1 sa note de crédit à long terme sur Renault, avec une perspective stable.   lire la suite

Et si Bruno Le Maire s’inspirait de Donald Trump…

In the port of Tanger Med, low-cost Renault await...

Autoactu publiait vendredi deux articles qui, involontairement, se renvoyaient l’un à l’autre.
 
L’un, signé de Laurent Bodin, traitait du sort de l’usine terminale PSA de Mulhouse qui a vu partir la production du nouveau 2008 vers l’Espagne en vertu de la doctrine bien connue désormais selon laquelle les sites français n’ont pas à assembler de véhicules des segments A et B, fussent-ils des SUV. 
L’autre, signé de Bertrand Rakoto, analysait le volet automobile du nouvel accord de libre-échange entre les Etats-Unis, le Canada et le Mexique et les contraintes qu’il impose aux constructeurs pour limiter la mise en concurrence entre les pays à hauts salaires et les pays à bas salaires et les délocalisations vers le Mexique. 
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What if Bruno Le Maire was inspired by Donald Trump...

In the port of Tanger Med, low-cost Renault await...

The weekly column by Bernard Jullien is also on www.autoactu.com.

Last Friday Autoactu released two articles that unintentionally referred to each other.
 
One, signed by Laurent Bodin, dealt with the fate of PSA's Mulhouse assembly plant, which saw the production of the new 2008 model leave for Spain under the now well-known doctrine that French sites should not assemble vehicles from segments A and B, even if they are SUVs.
The other, signed by Bertrand Rakoto, analysed the automobile component of the new free trade agreement between the United States, Canada and Mexico and the constraints it imposes on manufacturers to limit competition between high-wage and low-wage countries and relocation to Mexico.
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2019: a year of fundamental decisions for carmakers

Disruptive profit strategy : could Detroit mix oil and vinegar ?

The weekly column of Bernard Jullien , former director of Gerpisa, lecturer in economics (University of Bordeaux) and scientific advisor to the Essca Group's Chair of Network Management.

The season of financial results is on this February and most of the world's major automakers are indicating, one after the other, that 2019, as we reckon the years to come, will disappoint shareholders.
 
Only a handful of automakers, such as FCA or GM, have succeeded in improving their results over the year 2018.
FCA nevertheless expects a less promising 2019 financial year. GM has already undertaken a plan to maintain its profit rate in the United States in November, cutting 11,000 jobs. Most of the car manufacturers, like Daimler or Ford, have already seen their results drop in 2018. Ford hopes to do better in 2019 thanks to a fairly drastic restructuring plan for all its activities.
Daimler announced this week that achieving a margin target in the 8 to 10% bracket could not be expected until 2021.
 
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2019 : année des arbitrages fondamentaux pour les constructeurs

Disruptive profit strategy : could Detroit mix oil and vinegar ?

The weekly column of Bernard Jullien , former director of Gerpisa, lecturer in economics (University of Bordeaux) and scientific advisor to the Essca Group's Chair of Network Management.

La saison des présentations de résultats se poursuit en ce mois de février et la plupart des grands constructeurs mondiaux indiquent, les uns après les autres, que 2019, comme les années suivantes sans doute, décevront les actionnaires.
 
Rares sont les constructeurs qui, comme FCA ou GM, ont réussi à améliorer leurs résultats sur l’année 2018.
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BMW's very meaningful profit warning

During an interview on France Inter on Saturday, PSA's CEO Carlos Tavares mentioned BMW's "profit warning" as a sign of weakening of the entire sector by regulatory requirements. The obligation for car manufacturers to carry out forced electrification of their commercial ranges - whereas though customers seem reluctant to take the plunge - can only erode margins.

Indeed, in the case of BMW, the management is justifying the  impossibility of meeting 2018 profit targets by both the trade war between the US and China - which hinders the sales in China of vehicles (X3, X4, X5, X6) assembled in the American plant in Spartanburg - and by the transition to the new WLTP procedure which "causes strong price pressure". lire la suite

Le très significatif "profit warning" de BMW

Interrogé sur France Inter samedi, Carlos Tavares a évoqué le "profit warning" de BMW comme un signe de fragilisation de l’ensemble du secteur par les exigences règlementaires : l’obligation dans laquelle se trouvent les constructeurs de procéder à une électrification à marche forcée de leurs gammes alors même que les clientèles ne semblent guère prêtes à sauter le pas ne peut qu’éroder les marges.
 
Et, de fait, dans le cas de BMW, l’impossibilité de tenir les engagements en matière de profits en 2018 est expliquée par le management à la fois par la guerre commerciale entre les Etats-Unis et la Chine qui handicape les ventes en Chine de véhicules (X3, X4, X5, X6) assemblés dans l’usine américaine de Spartanburg et par la transition vers la nouvelle procédure WLTP qui "entraîne une vive pression sur les prix".
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Consolidation au Japon : Après Mitsubishi-Nissan, Toyota et Mazda

L'archipel des constructeurs nippons

Le mois d’août a vu se confirmer un mouvement sensible de consolidation de l’industrie automobile japonaise : libérés de leurs liens avec les constructeurs américains depuis plusieurs années déjà, les "petits" constructeurs japonais que sont Mitsubishi (autrefois lié à GM) et Mazda (autrefois lié à Ford) acceptent de s’inscrire dans des galaxies plus vastes. Dans le cas de Mazda, il s’agit de l’officialisation d’une relation partenariale puisque, comme l’indique Les Echos "Mazda travaille avec Toyota depuis les années 1970"
Elle passe par une prise de participation de Toyota qui acquiert 5% du capital de Mazda pour un montant de 50 milliards de yens (385 millions d'euros), tandis que ce dernier investit à hauteur de 0,25% dans Toyota. Contrairement à ce qui se dessine pour Mitsubishi, l’indépendance des deux constructeurs est préservée mais les domaines de collaboration s’étendent notoirement. lire la suite

Free2Move : les petits pas de PSA vers les nouvelles mobilités

La quatrième marque du groupe.

Avant que l’espace médiatique ne soit saturé par l’attention portée aux rutilantes 3008, 5008, C3 et DS de nouvelle génération sur le Mondial, Carlos Tavares a pris le temps mercredi de préciser quelles ambitions PSA nourrit autour de l’auto-partage et comment, sous la bannière Free2Move, ses initiatives allaient se structurer. 
Etant donnée la propension du petit monde des nouvelles mobilités à nous annoncer des révolutions sur la base de success stories à toute petite échelle présentées (avec la complaisance complice de médias avides de scénarios disruptifs), comme les signes avant coureur de "la fin de la propriété" ou de "l’explosion de l’économie collaborative", on ne peut écouter ce "story telling" qu’animé d’une certaine méfiance.
 
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2016 : nouveau départ de l’électrique ?

Il était une foi...
Il y a 6 ans, lors du Mondial 2010, on était encore avant le lancement de Zoé et, dans le prolongement du Grenelle, chez Renault et bien au delà, la conviction que le VE serait à même de faire rapidement une vraie percée commerciale était largement répandue, en France en particulier. L’Etat était très présent auprès des industriels et les collectivités ne voulaient pas être en reste. Ce que Axel Villaréal a appelé la "bulle électrique" était en train de gonfler et il paraissait difficile de résister à l’envolée sans se faire ringardiser et apparaître comme une espèce automobile de Kodak, défenseur impuissant de l’argentique face au numérique.
 
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2016 : nouveau départ de l’électrique ?

Il était une foi...

 Il y a 6 ans, lors du Mondial 2010, on était encore avant le lancement de Zoé et, dans le prolongement du Grenelle, chez Renault et bien au delà, la conviction que le VE serait à même de faire rapidement une vraie percée commerciale était largement répandue, en France en particulier. L’Etat était très présent auprès des industriels et les collectivités ne voulaient pas être en reste. Ce que Axel Villaréal a appelé la "bulle électrique" était en train de gonfler et il paraissait difficile de résister à l’envolée sans se faire ringardiser et apparaître comme une espèce automobile de Kodak, défenseur impuissant de l’argentique face au numérique. lire la suite

Les épreuves de vérité qui attendent Tesla en 2016 : l’état du débat

Words, words, words...?

Les passions que suscite le cas Tesla en Europe ne sont rien à côté de celles que nous révèlent quelques heures passées en recherche sur les sites américains. 

Face à la baisse des cours du baril, aux attaques contre le régime de subvention dont bénéficient l’installation de panneaux solaires ou les aides à l’achat de véhicule électrique, au retard du lancement du Model X (le SUV) finalement présenté à Genève ces jours-ci, aux pertes annoncées pour 2015 et à la présentation du futur Model 3 censé marquer l’entrée de Tesla dans la production à grande échelle le 31 de ce mois, les échanges de coups entre croyants et incroyants redoublent de violence. 

Elles s’inscrivent dans un contexte américain où les craintes d’un éclatement de la bulle sur les valeurs technologiques et singulièrement sur le NASDAQ vont croissantes. 

Elles sont également liées à une campagne électorale qui conduit à s’interroger sur la soutenabilité des business d’Elon Musk en cas de victoire républicaine. Elles convergent toutes vers un réexamen circonstancié de Tesla, de ses comptes et de la foi que l’on peut ou non avoir dans les annonces faites par son patron. lire la suite

L’arrivée tardive de Renault en Chine : un handicap surmontable

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L’inauguration en grande pompe de l’usine Renault-Dongfeng de Wuhan la semaine dernière a permis à Carlos Ghosn et aux équipes Renault de souligner les ambitions de l’entreprise en indiquant qu’à terme les parts de marché de Renault devaient être en Chine équivalentes à ce qu’elles sont dans le monde. L’objectif serait donc d’atteindre 3,5% d’un marché de 25 millions de véhicules : ce seraient alors presque 900 000 Renault qui devraient être vendues en Chine. Le réalisme de cette ambition en 2016 peut interroger car le moins que l’on puisse dire est que les conditions sont de plus en plus tendues : la croissance rapide du marché semble bien être derrière nous ; les segments qui croissent sont largement dominés par les marques chinoises ; les politiques publiques de contingentement de la circulation et des immatriculations se généralisent à l’ensemble des villes ; la concurrence des véhicules d’occasion est en train de s’affirmer ; les guerres de prix associées aux surcapacités ont commencé.
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Fiat Chrysler et UAW remettent l’industrie automobile américaine sur des rails fordiens

UAW-FCA Contract Talks

Le patron de l’UAW est convaincu que l’accord que lui et son équipe de négociateurs ont obtenu de Marchionne sera cette fois ratifié par les 40 000 salariés de Chrysler aux Etats-Unis. Ceux-ci avaient, rappelons le, rejeté le précédent, pourtant présenté lui aussi par Dennis Williams comme plutôt favorable. Le principal motif de rejet avait été alors le défaut de clarté de l’accord sur la très sensible question de la convergence des salaires entre les ouvriers nouvellement embauchés (depuis la crise de 2007) – "new hire employees" ou "in-progression workers" - et les autres – "traditional workers".
 
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Sergio Marchionne et Mary Barra : deux managers qui murmurent à l’oreille des investisseurs

Mary Barra Swiped Left on Sergio Marchionne’s Merger Proposal

Dans une interview qu’il a donnée à Automotive News récemment, le patron de FCA est revenu à la charge pour indiquer qu’il n’était pas raisonnable de la part de Mary Barra et de ses équipes de ne pas entrer en discussion avec lui sur une possible fusion entre son groupe et GM. Cette fois, affirme-t-il, il a fait tous les calculs, envisagé toutes les alternatives, examiné les choses de son point de vue de dirigeant de l’improbable ensemble Fiat-Chrysler mais aussi du point de vue de GM et de ses investisseurs : cette fusion doit impérativement se faire car elle augmenterait considérablement la profitabilité de l’ensemble et comblerait les détenteurs de titres.

Le cœur de l’argument marchionnien est maintenant bien connu largement popularisé et est une vieille antienne dans l’automobile : l’industrie automobile est une industrie lourde qui – selon Marchionne – s’alourdit plus encore aujourd’hui car les technologies à développer sont multiples et exigent des investissements très lourds ; dans la mesure où les consentements à payer pour les innovations ainsi développées sont faibles, les profitabilités sont – pour les investisseurs – bien peu enviables ; il est dès lors urgent d’engager un très ample mouvement de consolidation pour être à même de répartir les coûts concernés sur le plus grand nombre de véhicules commercialisés possible. En constituant le plus grand groupe mondial, la fusion dont il rêve donnerait le la, démontrerait combien il a raison et obligerait très rapidement les autres à lui emboîter le pas. lire la suite

L’exposition des constructeurs au risque chinois est inégale

A Tianjin, de nouvelles mesures contre les surcapacités automobiles?

La publication des chiffres des ventes automobiles de juillet en Chine avait déjà inquiété sérieusement le management de beaucoup de constructeurs et suscité une chute des cours. Les annonces des autorités chinoises concernant la révision de leur politique monétaire destinée à laisser se déprécier le yuan n’ont fait qu’accentuer la tendance et les bourses ont vu la totalité des actions automobiles baisser durement. Pourtant, comme le soulignait Carlos Ghosn devant le Club Automobile de l’INSEAD la semaine dernière, les constructeurs sont très inégalement exposés. Pour Renault en particulier, le fait de s’être vu reproché si longtemps d’être si peu présent en Chine pour subir cet été comme les autres la méfiance des marchés peut paraître bien injuste : même si les profits de Nissan risquent d’en pâtir et si les investissements de Renault pourraient se révéler plus difficiles à mener à bien, on ne peut pas considérer que Renault ait mis tous ses œufs dans le panier chinois. lire la suite

Les inconnues de la négociation sociale en cours aux Etats Unis

Les négociations salariales sont lancées actuellement dans l’industrie automobile américaine. Elles correspondent au fait que le précédent accord négocié en 2011 – qui reprenait les termes des accords négociés le couteau sous la gorge en 2009 - arrive à son terme en septembre et oblige les Big 3 à ré-envisager avec l’UAW (United Auto Workers) les conditions d’emploi des salariés de leurs usines. Depuis 2011, la situation de Ford, GM et Chrysler (devenu FCA) s’est notablement améliorée. Les profits sont de retour (1), les dividendes et rachats de titres avec eux et, même si on leur a consenti quelques primes (2), les salariés paraissent légitimes lorsqu’ils réclament une part plus conséquente des fruits de la prospérité. lire la suite

Le choix de Trémery peut-il être signe d’un changement de séquence ?

Car guy, Minefi, PR. Trémery, 27 mars 2015

Entre les deux tours des départementales, François Hollande a fait le déplacement en Moselle pour venir saluer la décision prise par PSA d’affecter la production des 3 cylindres turbo essence à l’usine de Trémery. Dans les mois qui avaient précédé, le management de PSA avait présenté ce choix de site comme étant une des possibilités envisagées. L’alternative explicitement évoquée était la création de toutes pièces d’une unité de production de moteurs à Vigo, site chéri par le management de PSA ces dernières années qui en a fait le premier site européen d’assemblage du groupe (1). L’hypothèse Trnava avait également été évoquée (2). lire la suite

Les dégâts de Takata n’en finissent pas de s’étendre

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Le monde automobile français semble pour l’instant assez peu atteint par le tsunami des rappels massifs. Née aux Etats-Unis, la vague n’en finit pas d’enfler là bas en même temps qu’elle s’étend maintenant très largement en Asie (1). Aux derniers épisodes, on a vu Toyota rappeler cette semaine 57 000 véhicules supplémentaires après que Honda ait, deux semaines auparavant, dû le faire suite à la révélation d’une mort en Malaisie provoquée par les défaillances de l’airbag Takata (2). Les autorités japonaises se sont, à l’instar de la NHTSA, saisies du problème et vont veiller à la fois à ce que tous les rappels soient faits et à ce que les indemnisations des victimes soient assurées. Aux Etats-Unis, la NHTSA impose à tous de rappeler tous les véhicules concernés et refuse que les constructeurs s’en tiennent – fût-ce à titre provisoire – aux régions chaudes et humides où le dispositif de mise à feu de l’airbag est le plus souvent défaillant. Takata qui arguait des problèmes de production des pièces pour couvrir le besoin est menacé d’une amende de 7000 dollars par voiture si il n’obtempère pas cette semaine (3). Chrysler a de même subit les remontrances de la NHTSA pour la lenteur avec laquelle l’entreprise lançait sa campagne de rappel (4). lire la suite

La quinzaine GM : éloge de la nationalisation temporaire

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Autant que l’abandon de Chevrolet en Europe, la fin de la production de Holden en Australie, la nomination de Mary Barra à sa direction ou la décision de vendre les 7% des parts que GM détenait dans PSA, GM a marqué l’actualité de cette semaine en redevenant une entreprise pleinement privée : l’Etat américain a en effet mis en vente cette semaine les actions qu’il détenait encore. Ce faisant il a mit ainsi un terme symbolique non seulement à ces 4 années durant lesquelles GM a été nationalisé puis progressivement re-privatisé mais à une décennie de déshérence qui avait vu, bien avant la crise des subprimes, l’entreprise accumuler les pertes. Alors que Obama se félicitait d’avoir pu, en prenant la décision d’intervenir, sauver 1 million d’emplois, Dan Akerson, que le gouvernement avait été cherché hors de l’automobile pour faire le job qu’exigeait la restructuration déclarait : "Nous serons toujours reconnaissant de la seconde chance qui nous a été donnée et nous ferons à l’avenir tout notre possible pour en tirer le meilleur". lire la suite

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